d’Hautel, 1808 : Nom que l’on donne à un petit-maître, à un céladon ; et familièrement à celui qui a les cheveux blonds.
Delvau, 1864 : Séducteur, quelle que soit la couleur de ses cheveux.
L’autr’ jour, en rentrant chez moi,
J’trouv’la cle dans la serrure…
J’entre et j’ vois ma femm’ près d’un grand blondin,
Tout autre aurait pris la mouche soudain…
(J. E. Aubry)
De certain blondin la binette
Me faisait mazurker le cœur.
(S. Tostain)