Delvau, 1864 : Nom poli qu’on donne à l’amant de cœur d’une femme galante. C’est le chevalier à la mode de Dancourt.
Toute lorette, inévitablement, a son Arthur, comme toute fille publique son maquereau, comme toute pomme pourrie son ver.
(Baron Wodel)
Larchey, 1865 : Voir Amant de cœur.
Quant aux Arthurs de Ces Dames.
(Delvau)
Arthur : Homme à prétentions galantes.
Un haut fonctionnaire bien connu, membre d’une académie, Arthur de soixante ans.
(De Boigne)
Delvau, 1866 : Amant de cœur, — dans l’argot de Breda-Street.
France, 1907 : Amant de cœur d’une fille ou homme à bonnes fortunes.