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Camphrier

Larchey, 1865 : « Le camphrier est un sale débit de liqueurs atroces à un sou le verre et à dix-sept sous le litre. Le caboulot ne diffère du camphrier que par sa moindre importance comme établissement. C’est, du reste, le même breuvage qu’on y débite aux mêmes habitués. »

(Castillon)

Larchey, 1865 : Buveur d’eau-de-vie.

Entends-tu, vieux camphrier, avec ta voix enrhumée.

(1844, Catéch. Poissard)

Delvau, 1866 : s. m. Marchand de vin et d’eau-de-vie, — dans l’argot des faubouriens. Se dit aussi pour buveur d’eau-de-vie.

Rigaud, 1881 : Débit de vins et liqueurs d’un ordre tout à fait inférieur. La variante est : Alambic au camphre.

France, 1907 : Buveur d’eau-de-vie ou petit débitant de liqueur à un sou le verre.

— Ta mère est à la broche, le diable la retourne : entends-tu, vieux camphrier, avec sa voix enrhumée.

(Nouveau Catéchisme poissard)

Camphrière

France, 1907 : Ivrognesse.


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique