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Dévidage

Vidocq, 1837 : s. m. — Long discours.

Larchey, 1865 : Discours aussi long que le dévidage d’un écheveau.

Delvau, 1866 : s. m. Long discours, bavardage interminable, — dans l’argot des voleurs. Dévidage à l’estorgue. Accusation.

Rigaud, 1881 : Long discours.

Rigaud, 1881 : Promenade dans le préau d’une prison. (L. Larchey)

Hayard, 1907 : Bavardage.

France, 1907 : Discours interminable, bavardage incessant. Allusion à un écheveau que l’on dévide.

France, 1907 : Promenade dans le préau d’une prison.

Dévidage à l’estorgue

Vidocq, 1837 : s. f. — Accusation.

Larchey, 1865 : Acte d’accusation.

Rigaud, 1881 : Mensonge. — Acte d’accusation.

Virmaître, 1894 : Acte d’accusation lu en cours d’assises par le greffier. Dévider : parler : à l’estorgue, faussement (Argot des voleurs). Dévider : promenade en dévidoir que font les prisonniers sur le préau (Argot des voleurs). V. Queue de cervelas.

France, 1907 : Accusation, mensonge.

Dévidage d’aminches

France, 1907 : Dénonciation d’amis.

Dévidages (faire des)

France, 1907 : Dénoncer.


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique