Larchey, 1865 : « Le gendarme a différents noms en argot : quand il poursuit le voleur, c’est un marchand de lacets ; quand il l’escorte, c’est une hirondelle de la Grève ; quand il le mène à l’échafaud, c’est un hussard de la guillotine. » — Balzac.
Delvau, 1866 : s. m. Gendarme, — dans l’argot des prisons. On dit aussi Hussard de la veuve.
Rigaud, 1881 : Garde de Paris, gendarme, chargé de maintenir la foule les jours d’exécution capitale.
France, 1907 : Gendarme, garde de Paris.
Titi. — Vois-tu les gendarmes ?
Lolo. — Les hussards de la guillotine, tu veux dire, pas visibles à l’œil nu. Si, si, c’est moi qui s’trompe, si, les v’là, les v’là qui débouchent…
(Henry Monnier, Les Bas-fonds de la société)
Le gendarme a différents noms en argot. Quand il poursuit le voleur, c’est un marchand de lacets ; quand il l’escorte, c’est une hirondelle de de la grève ; quand il le mène à l’échafaud, c’est un husssard de la guillotine.
(Balzac)