Merlin, 1888 : Être au courant des ficelles du métier. On dit également : être à la coule.
Fustier, 1889 : C’est la variante de l’expression citée par Delvau : Connaître le numéro.
France, 1907 : Être habile, pas se laisser duper et savoir attraper les autres.
Est-ce naturel qu’un vieux garçon qui la connait dans les coins, comme on disait au régiment, qui en a vu de toutes les couleurs, qui considère la femme comme un joujou un peu plus perfectionné que les poupées, s’énerve, compte les heures et les minutes, se surmène en des courses vertigineuses …
(Champaubert, Le Journal)