Virmaître, 1894 : Lot d’objets ou de mobilier (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Tout ce que l’on possède.
Pour déménager, j’ai mis tout mon Saint-Frusquin dans une voiture à bras.
France, 1907 : Vêtements, nippes et par suite avoir, fortune ; de frusques.
Le lendemain dans l’après-midi, la mère, accompagnée d’une autre de ses filles, amena ma squaw à mon tepee avec trois chevaux et son saint-frusquin. Elles nous préparèrent un lit en osier, mirent tout en ordre et se retirèrent. En ce moment, au dehors, avec quelques jeunes trappeurs, je trouvais à mon retour, à ma grande surprise, ma femme installée an logis.
(Hector France, Chez les Indiens)
Manger son saint-frusquin, dépenser son avoir.
J’étais, ma foi, trop bête
D’aimer ce libertin
Qui venait tête à tête
Manger mon saint-frusquin.
S’il me trouvait gentille,
D’autres aussi verront
Que je suis brave fille
Qui ne veut pas d’affront.
(Vadé)