d’Hautel, 1808 : Plaie large et profonde, faite au visage avec le tranchant d’un sabre, ou quelquefois même avec un instrument contondant.
L’abreuvoir à mouches provient fort souvent des blessures que les enfans de Bacchus se font, soit en se battant à coups de poings, soit en donnant du nez contre terre.
Vidocq, 1837 : s. f. — Grande plaie d’où coule le sang ; ce terme est passé dans la langue populaire ; je le trouve dans le Vocabulaire de Vailly, édition de 1831.
