Fustier, 1889 : Le faire taire. Asseyez-vous dessus, dit-on en parlant d’un gamin qui crie et gêne ainsi les personnes avec lesquelles il se trouve. — S’asseoir sur quelque chose, n’en pas faire cas.
Tous tes discours, tout’s tes promesses d’autrefois, tu t’asseois dessus !
(L’Esclave Ivre, no 1)