Larchey, 1865 : S’attendrir sous l’empire d’un commencement d’ivresse. Dix minutes avant, le buveur attendri n’était qu’ému. Dix minutes encore, et il sera sur le point de pleurer.
Le capitaine qui avait religieusement vidé son verre à chaque mot, s’attendrit.
(Th. Gautier)
Delvau, 1866 : v. réfl. Arriver à cette période de l’ivresse où l’on sent des flots de tendresse monter du cœur aux lèvres. Argot des faubouriens.