d’Hautel, 1808 : Âne ; ouvrier inhabile, celui qui n’entend pas son métier.
L’aze me fiche, si je t’ai compris. Sorte de juron dont on se sert dans le sens de Diable m’emporte ; je veux être pendu ; je veux que le loup me croque, etc.
Rigaud, 1881 : Âne, homme qui n’est pas au courant de son métier. Mot très usité aux XVIIe et XVIIIe siècles et emprunté au provençal.
Un barbier y met bien la main,
Qui bien souvent n’est qu’un vilain,
Et dans son métier un grand aze.
(Scarron, Jodelet maître et valet)
