Delvau, 1866 : v. réfl. Garnir le corsage de sa robe « d’avantages » en coton, — dans l’argot des petites dames qui, pour séduire les hommes, ont recours à l’Art quand la Nature est insuffisante.
France, 1907 : Se garnir le corsage et le derrière, pour remplacer les tétons absents et les fesses trop plates ; argot des filles.