d’Hautel, 1808 : Câlin, flatteur, hypocrite ; homme lâche et poltron. Les écoliers appellent capon, pestard, celui de leurs camarades qui va se plaindre ou rapporter au maître. Le mot capon signifie aussi parmi le peuple un joueur rusé et de mauvaise foi, qui est très-habile au jeu.
Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Écrivain des voleurs.
Delvau, 1866 : s. m. Lâche, — dans l’argot du peuple, trop coq gaulois pour aimer les chapons.
France, 1907 : Poltron, lâche. Se dit aussi pour filou.
