France, 1907 : Tondeur de chiens.
En dehors des sens qui mènent à Paris une vie de chien, il y a ceux qui exploitent la vie des chiens. Je ne parle, bien entendu, ni des piqueurs de meutes, ni des marchands de muselières et autres industriels à patentes respectables, mais des humbles qui glanent où les autres ont moissonné. D’une appellation collective on les nomme les chienneurs ; tous ne vous sont pas inconnus, mais il est peu probable que les détails de leurs petits commerces vous soient familiers.
(Guy Tomel, Le Bas du Pavé parisien)