Comble

Comble

France, 1907 : Quelque chose d’outré, le nec plus ultra d’un défaut, d’un vice. C’est un jeu de mots qui se fait par des appositions d’idées tout à fait inattendues.
Le comble de la distraction est, en sortant de table, au lieu de s’essuyer la bouche, d’essuyer le derrière de sa voisine.
Le comble de l’embarras pour un tuteur ? Avoir une pupille qui lui tape dans l’œil.
Le comble du zèle pour un sergent de ville ? Arrêter sa montre et la mettre au clou.

Aujourd’hui, tout ce qui n’est pas un comble est l’exception.

(Dr Grégoire, Turlutaines)

Combler les vœux d’un homme

Delvau, 1864 : Lui ouvrir ses cuisses quand on est femme, afin qu’il introduise son engin dans le vôtre.

Sophie, à ce moment fatal,
Comble les vœux de mon rival.

(Béranger)


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique