Coup du chandelier

Coup du chandelier

France, 1907 : Les servantes des petites dames appellent ainsi le pourboire qu’elles soutirent aux clients de leur maîtresse en les reconduisant et en les éclairant dans l’escalier.

Coup du chandelier (le)

Virmaître, 1894 : Dans les maisons de rendez-vous ou chez les femmes publiques un peu cossues, une fois la séance terminée, la bonne vous reconduit en vous éclairant (c’est à charge de revanche), on lui donne généralement un pourboire ; elle vous remercie gracieusement, en ajoutant comme Bilboquet :
— Si vous êtes content et satisfait, envoyez-nous du monde.
C’est le coup du chandelier (Argot des filles).


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique