Delvau, 1866 : s. m. Celui qui ouvre et ferme les portes — dans l’argot des francs-maçons.
Rigaud, 1881 : Chapelier, — dans le jargon des voyous. Couvreur de la haute, chapelier di primo cartelo.
Couvreur
Delvau, 1866 : s. m. Celui qui ouvre et ferme les portes — dans l’argot des francs-maçons.
Rigaud, 1881 : Chapelier, — dans le jargon des voyous. Couvreur de la haute, chapelier di primo cartelo.
Couvreur (frère)
France, 1907 : Officier d’une loge chargé d’ouvrir et de fermer les portes et de s’assurer si le temple est couvert, c’est-à-dire s’il ne s’y trouve pas de profanes.
Couvreur, couvrir une femme
Delvau, 1864 : Homme qui baise, parce qu’en baisant il couvre de son ventre, en guise de toit, cette délicieuse habitation qu’on appelle la con de la femme, et que, sous prétexte d’empêcher la pluie d’y tomber, il inonde, lui, de son sperme.
Plus vous couvrirez une femme, plus il pleuvra.
(Tabarin)
Faut voir comm’ leurs femm’s sont couvertes.
(Rougemont)
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