Larchey, 1865 : « Ce mot a signifié cocu pendant quinze jours. En ce temps, il venait de paraître un roman de M. Paul de Kock intitulé le Cocu. Ce fut un scandale merveilleux… Il fallait bien pourtant se tenir au courant et demander le fameux roman. Alors (admirez l’escobarderie !) fut trouvée cette honnête périphrase : Avez-vous le dernier de M. de Kock ? » — Th. Gautier. — « Le mari. — Et de cette façon je serais le dernier de M. de Kock, minotaure, comme dit M. de Balzac. » — Id.
Dernier de M. de Kock
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