France, 1907 : Faire des embarras, vouloir étonner les imbéciles ou s’en faire admirer. D’après Francisque Michel, se mot viendrait de l’italien sbruffo, gorgée d’eau de vin qu’on rejette ; d’après Charles Nisard, du vieux mot esbouffer, se répandre avec bruit, dérivé lui-même de esbruier, esbrouir, bruire.
Esbrouffe (faire de l’)
Esbrouffe (faire de l’)
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