Rigaud, 1881 : Voler à l’accolade, voler à la méprise.
Eh ! ce cher ami, comment va-t-il, que je l’embrasse… Ah ! pardon, monsieur, je vous prenais pour un tel.
À lafaveur d’une étreinte bien sentie, la dupe est volée, le rigolo est frit.
La Rue, 1894 : Voler à l’accolade, à la méprise.
France, 1907 : Voler à l’accolade.
