d’Hautel, 1808 : Battre, rosser, étriller.
Il a été frotté. Pour on lui a donné sur les doigts, sur les oreilles ; il n’a pas été le plus fort.
Se frotter au pilier, s’associer à une cotterie, à une cabale.
Il ne faut pas s’y frotter. Pour il ne faut pas s’y fier.
Larchey, 1865 : « Battre, rosser. » — d’Hautel, 1808. — On dit aussi : Donner une frottée.
Delvau, 1866 : v. a. Battre, donner des coups. On dit aussi Frotter les reins et Frotter le dos.
Virmaître, 1894 : Faire la cour à une femme.
— Elle est rien raide, faut pas s’y frotter (Argot du peuple). N.
