Virmaître, 1894 : Seins. Les troupiers, dans les jardins publics, se placent de préférence sur les bancs, à côté des nourrices qui allaitent leurs nourrissons. Ils se pourlèchent les lèvres à la vue des nichons blancs et volumineux.
— Mademoiselle, en voilà un heureux gaillard de manger à une pareille gamelle.
Quand il y en a pour un, il y en a pour deusse.
Le camarade se penche : « Il y en aurait bien pour troisse » (Argot des troupiers). N.
France, 1907 : Seins de nourrice
