Gouter les plaisirs, les ébats, les joies, etc.

Gouter les plaisirs, les ébats, les joies, etc.

Delvau, 1864 : Baiser, ce qui est la félicité suprême.

Mais qu’importe, si l’on goûte
Le doux plaisir de la chair ?
Qu’importe, pourvu qu’on foute ?
Cela vous paraît-il clair ?

(Collé)

Eh bien ! mon petit cœur, eh bien ! ma mignonnette,
Ne voulez-vous pas bien vous marier un jour
Pour goûter les ébats du petit dieu d’amour.

(Trotterel)

Quand elle eut commencé à goûter un peu les joies de ce monde, elle sentit que son mari ne la faisait que mettre en appétit.

(Bonaventure Desperriers)


Argot classique, le livreTelegram

Dictionnaire d’argot classique