Larchey, 1865 : Dupe, niais. — Signifie depuis longtemps Chrétien chez les juifs.
Le goye te mire, le pante te regarde.
(Monselet)
Rigaud, 1881 : Boiteux, — dans le jargon des méridionaux de Paris.
Goye
Larchey, 1865 : Dupe, niais. — Signifie depuis longtemps Chrétien chez les juifs.
Le goye te mire, le pante te regarde.
(Monselet)
Rigaud, 1881 : Boiteux, — dans le jargon des méridionaux de Paris.
Goye, goym
France, 1907 : Niais, dupe. Hébraïsme ; sobriquet donné par les juifs aux chrétiens.
— Kadosch, Kadosch, Kadosch, Adonai Zebaoth (Saint, Saint, trois fois Saint est l’Éternel Zebaoth), gronda Esther. Voilà un catholique, un goye bien audacieux ! Il a du talent, du courage, ce Drumont ! Il frappe les grands juifs, des grands « ioutes », mais il a moins faim que moi : je voudrais manger tous les antisémites, tous les catholiques, les grands et les petits, tous les goyes !
(Dubut de Laforest, La Femme d’affaires)
Goyes
France, 1907 : Pâte en longs morceaux servant à engraisser les dindons.
Argot classique, le livre • Telegram