Delvau, 1864 : Ainsi nommés par antiphrase sans doute, puisque ce sont les jeux les plus libertins que l’on connaisse, le jeune homme pinçant le cul à la jeune fille, ou la jeune fille faisant une langue avec le jeune homme, devant les grands parents assemblés — qui n’y voient que du feu.
Pour cet jeux innocents, source de tant de fièvres,
Qui troublent les jeunes sens,
Un monsieur a baisé, devant, les grands parents,
Tout en baisant la joue, un peu le coin des lèvres.
On a rougi cent fois…
(A. Karr)
