Delvau, 1866 : v. n. Être guillotiné, — dans l’argot des voleurs, qui font allusion à l’attitude du supplicié, agenouillé devant la machine, la tête basse, les mains liées derrière le dos.
Virmaître, 1894 : Être guillotiné. Cette expression n’est plus juste, car, comme autrefois, le condamné ne s’agenouille plus pour recevoir le coup fatal, il est couché sur la planche. On dit : Il fait la planche (Argot des voleurs). N.
France, 1907 : Être guillotiné. Allusion à la posture du supplicié dont les mains sont attachées derrière le dos.
