Rigaud, 1881 : Maison de prostitution clandestine où certaines femmes du monde, certaines actrices en renom, vont faire concurrence aux filles des maisons autorisées.
Maison à partie
Maison à partie
Maison à parties
France, 1907 : Maison de jeu qui couvre une maison hospitalière. On y passe de la partie de cartes à la partie de dames, de l’as de trèfle à l’as de cœur ou de pique.
Un grand salon est ouvert à tous les amateurs ; on risque galamment quelques louis, et entre deux parties on passe à une autre variété d’exercice dans une chambre ad hoc. Quelques-unes de ces maisons, connues sous le nom de maisons à parties, sont le suprême du genre.
(Léo Taxil, La Prostitution contemporaine)
Maison à parties ou de passe
Delvau, 1864 : Maison particulière, d’apparence honnête, où les filles libres viennent tirer leurs coups avec les michés qu’elles ont levés en route.
Argot classique, le livre • Telegram