Rigaud, 1881 : Je crois bien, comment donc, certainement que. — Mince que je voudrais le voir. — Mince qu’il est bate.
Mince que t’as raison.
(J. Lermina, Les Chasseurs de femmes, 1879)
Vous avez des places ? — Mince ! si j’ai des places ? Une loge de face.
(Le Gavroche, 1879)
Les voyous emploient encore le mot mince comme synonyme du fameux mot de Cambronne, à la fin d’une phrase, comme argument décisif : Ah ! mince alors.
