Delvau, 1866 : s. m. Nez d’ivrogne, érubescent, plein de bubelettes, qui n’a pu arriver à cet état qu’après de longues années d’un culte assidu à Bacchus. On dit aussi Nez qui a coûté cher à mettre en couleur.
Nez qui a coûté cher
Nez qui a coûté cher
Nez qui a coûté cher à mettre en couleur
Larchey, 1865 : Nez dont la teinte rubiconde atteste que son porteur a payé plus d’une bouteille.
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