France, 1907 : Les habitants de Noyon avaient reçu le sobriquet de friands et aussi de rusés. Quant aux Noyonnaises, elles passaient pour être en plus fort amoureuses, s’il faut s’en rapporter à cet adage du XVIe siècle :
Une gerbe de Cupidon
Pour les dames de Noyon.
Cependant le Père Le Vasseur, qui vivait dans la première moitié du XVIIe siècle, écrit dans les Annales de Noyon qu’on disait de son temps en proverbe : Noyon la Sainte.