Larchey, 1865 : Très-bien.
Il est meublé aux oiseaux.
(Balzac)
Pour exprimer qu’un homme est très-bien fait, qu’une femme est très-belle, on dit qu’ils sont aux oiseaux.
(1808, d’Hautel)
Oiseau : Triste personnage. V. d’Hautel.
Minute ! quel est c’t oiseau-là ?
(Léonard, parodie, 1863)
Oiseau fatal : Corbeau (Vidocq). — On sait que le corbeau est pour le peuple un mauvais présage.
Rigaud, 1881 : Parfait, très soigné. Est-ce une allusion, au célèbre couvent des Oiseaux où les demoiselles du meilleur monde, c’est-à-dire du monde le plus riche, reçoivent une éducation soignée ?
France, 1907 : Très bien, excellent.
— Laissez-vous faire, Mam’zelle, je vous arrangerais cela aux oiseaux.
(Les Joyeusetés du régiment)
