Ansiaume, 1821 : Être prêt.
Est-tu paré à piqueter une rouillarde d’eau d’aff ?
Delvau, 1866 : Avoir subi la « fatale toilette » et être prêt pour la guillotine, — dans l’argot des prisons. Les bouchers emploient la même expression lorsqu’ils viennent de faire un mouton.
Rigaud, 1881 : Avoir été coiffé et attifé par ce terrible perruquier-barbier qui répond au nom du bourreau ; c’est être préparé pour l’échafaud.
France, 1907 : Être prêt pour l’exécution. On sait que le condamné est soumis à une sorte de préparation qu’on appelle la toilette.