France, 1907 : Pâtir pour les fautes d’autrui.
J’ai faim, disait ventre creux
Devenu sceptique,
Je suis las des fruits véreux
De la politique,
Tiens ! je paie assez
Les vieux pots cassés.
Les partis
Sont petits.
Chacun a sa bande.
J’aime mieux la viande !
(Eugène Pottier, Chansons révolutionnaires)