Rigaud, 1881 : « Il n’est pas de cabaret où il ne se confectionne chaque jour ce que le restaurateur appelle dans son argot un plat du jour, c’est-à-dire un plat humain, possible, semblable à la nourriture que les hommes mariés trouvent chez eux ; un plat, enfin, que l’on peut manger sans en mourir. » (Th. de Banville, La Cuisinière poétique)
Virmaître, 1894 : Femme nouvelle servie aux habitués des maisons de rendez-vous avant qu’elle ne serve au public (Argot des filles). N.
France, 1907 : Nouvelle arrivée dans une maison de tolérance que la matrone offre aux clients habituels, aux gros bonnets de la localité avant de l’exposer au salon ; argot des filles.
