France, 1907 : « Méfiez-vous du ponte qui place un billet de banque ployé à « cheval » dont les deux extrémités sont relevées et qui, après avoir regardé à la dérobée le point de son tableau, tousse fortement et fait passer la raie à son billet soulevé par le vent qu’il a fait. Cela s’appelle le coup du poitrinaire. »
(Hogier-Grison, Le Monde où l’on triche)
