d’Hautel, 1808 : Une bonne pondeuse. Se dit par plaisanterie d’une femme très-féconde, qui tous les neuf mois met un enfant au monde.
Delvau, 1866 : adj. et s. Femme féconde, — dans l’argot du peuple.
France, 1907 : Femme trop féconde.
Et puis tous les ans c’est un gosse ;
Qué pondeuse ! En v’là d’un négoce,
C’est épatant ! A pond ! A pond !
(André Gill, La Muse à Bibi)
