France, 1907 : Sobriquet donné par les soldats du premier empire aux Autrichiens, à cause de leur dévotion et des scapulaires et médailles qu’on trouvait sur les blessés et les morts.
Pour lors, les Autrichiens arrivent et la 32e n’avait point encore enlevé la redoute, et nous n’étions plus que sept, et pour lors nous étions frits, tellement que les Quinze-Reliques dégringolaient déjà en masse et nous tombaient sur le râble que c’en était un vrai plaisir.
(Ernest Capendu, La 32e demi-brigade)