Delvau, 1864 : Décharge de la liqueur balsamique, que les gens qui n’attendent rien du ciel appellent tout bonnement : — du foutre.
Mon amie, reçoit encore cette preuve de mon amour. Gamiani, excitez-moi, que j’inonde cette jeune fille de la rosée céleste.
(A. de M.)
Notre adorable conquérant fait des siennes à toute outrance et darde la rosée de vie sans le moindre ménagement.
(A. de Nerciat)
Et le détestable Fa-tutto a fait pleuvoir dans mon sein la rosée du crime.
(Voltaire)
