France, 1907 : Dévot, cagot. Le dévot est le pou, la dévote est la punaise… quand elle est vieille, s’entend. Tant qu’elle est jeune et jolie, c’est une colombe ou une douce brebis du Seigneur.
Les poux de sacristie ont trouvé une sorte de plaisanterie extra-topique. Quand ils ont un surcroit d’absinthe sur la conscience (c’est-à-dire l’estomac), ils cultivent un brin de poésie. Ils s’amusent à fabriquer des chansons atroces, épouvantables ; puis ils prétendent les avoir reçues par la poste et les publient pour terroriser les deux douzaines de gâteux auxquels ils envoient leur journal gratis.
(L’Évènement, nov. 1877)