Delvau, 1864 : La gorge d’une femme.
Sur un col blanc, qui fait honte à l’albâtre,
Sont deux tétons, séparés, faits au tour,
Allant, venant, arrondis par l’amour.
(Voltaire)
Donne-moi tes tétons.
(La Popelinière)
Comme le gland d’un vieux qui baise
Flotte son téton ravagé.
(Parnasse satyrique)
Si son cœur est de roche.
Ses tétons n’en sont pas.
(J. Duflot)
Delvau, 1866 : s. m. pl. La gorge de la femme. Tétons de satin blanc tout neufs. Virgo pulchro pectore. C’est un vers de Marot resté dans la circulation.