d’Hautel, 1808 : Il feroit rire un tas de pierres. Se dit exagérément d’un homme dont l’humeur est joviale, bouffonne, agréable et plaisante.
Rigaud, 1881 / La Rue, 1894 : Personne sans énergie.
France, 1907 : Billet de cent francs.
France, 1907 : Coups. Coller des tas, donner des coups.
Tu dois ben ça à ton p’tit homme
Qu’a p’têt’ été méchant pour toi,
Mais qui t’aimait ben, car, en somme,
Si j’te flaupais, tu sais pourquoi.
À présent qu’me v’là dans les planques
Et qu’je n’peux pus t’coller des tas,
Tu n’te figur’s pas c’ que tu m’manques
À Mazas.
(Aristide Bruant, Dans la Rue)
France, 1907 : Personne molle, sans énergie, qui s’affaisse comme un tas.
Il s’était collé avec un gros tas qui passait sa vie à roupiller.
(Les Joyeusetés du régiment)