France, 1907 : « En argot de lupanar, on appelle veilleurs de morts les jeunes vauriens qui emploient leur soirée à mettre sens dessus dessous les maisons de tolérance. Ils sont la terreur des maquerelles, et les pertes qu’ils leur font subir sont les revers de la médaille du proxénétisme. »
(Léo Taxil, La Prostitution contemporaine)