Vidocq, 1837 : s. f. — Potence.
(Le Jargon, ou Langage de l’Argot moderne)
Larchey, 1865 : Guillotine. — Elle voit mourir tous les hommes couchés sur sa planchette.
Dis-moi, menin de monseigneur le bourreau, gouverneur de la veuve (nom plein de terrible poésie que les forçats donnent à la guillotine)…
(Balzac)
On appelle encore la guillotine de toutes sortes de petits noms : Fin de la soupe, Grognon, la Mère au bleu (au ciel), la dernière bouchée etc., etc.
(V. Hugo)
Rigaud, 1881 : Corde, — dans l’ancien argot. (V. Hugo)
Fustier, 1889 : Non conformiste qui se prête… aux plus bizarres exigences.
La Rue, 1894 : Corde. Guillotine. Épouser la veuve, être guillotiné.
anon., 1907 : La guillotine.