Larchey, 1865 : Être ingénieux.
A-t-il du vice, ce mâtin de Couturat.
(De Goncourt)
Nonore, un petit avorton de femme qui a la réputation d’avoir du vice.
(Ces Dames)
Rigaud, 1881 : Avoir de la malice.
La femme qui a un peu de vice, s’émancipe tôt ou tard de la tutelle d’une maîtresse de maison et travaille pour son compte.
(E. de Goncourt)
France, 1907 : Être malin, astucieux : argot populaire.
La gamine n’avait pas plus de douze ans, mais elle avait déjà du vice en diable et faisait voir le tour à père et mère.
(Les Joyeusetés du régiment)
On dit aussi avoir du vice dans da toupie.
