d’Hautel, 1808 : Quand l’un dit tue, l’autre dit assomme. Pour exprimer que deux personnes enchérissent l’une sur l’autre de sévérité et de dureté dans les punitions qu’ils infligent à leurs subordonnés.
On dit grossièrement et méchamment des femmes qui sont parvenues à un âge avancé, et qui semblent promettre une longue vieillesse, que Pour qu’elles mourussent, il faudroit les assommer.
Assommer se prend aussi, par exagération, pour fatiguer, ennuyer, accabler. On dit d’un bavard, d’un importun, qu’Il assomme par la longueur et l’ennui de ses discours.