anon., 1827 : Épée.
Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Épée.
Bras-de-Fer, 1829 : Épée.
Halbert, 1849 : Épée.
Larchey, 1865 : Tripoli, mélange servant à nettoyer les pièces de cuivre.
Et tirant du bahut sa brosse et son astic, il se met à brosser ses boutons dans le chic.
Souvenirs de Saint-Cyr.
Delvau, 1866 : s. m. Tripoli, — dans l’argot des troupiers, qui s’en servent avec un mélange de savon, d’eau-de-vie et de blanc d’Espagne, pour nettoyer les cuivres de leur fourniment. D’où Aller à l’astic.
Delvau, 1866 : s. f. Epée, — dans l’argot des voleurs, qui ne se doutent pas que ce mot vient de l’allemand stich, chose pointue, dont on a fait estic, puis astic, et même asti.
Rigaud, 1881 : Polissoir, — dans le jargon des cordonniers.
Merlin, 1888 : Tripoli.
France, 1907 : Tripoli dont on se sert dans l’armée pour nettoyer les cuivres.
France, 1907 : Épée, argot des voleurs ; le l’allemand Stich, objet pointu.