d’Hautel, 1808 : Carillonner quelqu’un. Le gourmander ; le blâmer hautement ; le traiter avec une grande dureté.
Delvau, 1864 : Baiser une femme, en frappant les parois de sa cloche avec le battant priapesque.
Et il carillonne à double carillon de couillons.
Rabelais.
N’est-ce pas un sujet de rire, lorsqu’on est sur le point de carillonner à ma paroisse.
D’Ouville.