d’Hautel, 1808 : « Nom donné d’abord à une espèce d’air et de danse, ensuite à une forme particulière de vêtement ; puis aux soldats qui le portoient ou qui chantoient des carmagnoles, » etc. Dict. de l’Académie, supplément.
Faire danser la carmagnole à quelqu’un. Au figuré, signifioit, dans les troubles de la révolution, le guillotiner, le mettre à mort par tous les supplices de ce temps.
Carmagnol
Carmagnol
Carmagnole
Delvau, 1866 : s. m. Soldat de la République, — dans l’argot des ci-devant émigrés à Colentz.
Argot classique, le livre • Telegram