France, 1907 : Réunion des mots clérical et cafard ; sorte de pléonasme, car tout clérical est cafard par grâce d’état, et le cafard est généralement un clérical, qu’il soit catholique, anglican, calviniste ou luthérien.
Les cléricafards, au lieu de se poser en victimes, devraient avoir la pudeur de se taire et de se faire oublier, afin qu’on ne leur rappelle pas les innombrables crimes qu’ils ont commis pendant tant de siècles.
(Louis Tranier, Le Souverain)