Rigaud, 1881 : Vêtement complet, c’est-à-dire veston, gilet et pantalon levés sur la même pièce.
Il se sent plus à l’aise sous sa veste blanche que sous les complets que lui expédient les bons faiseurs de Londres.
(Figaro, du 11 déc. 1878.)
France, 1907 : Habillement d’homme taillé dans la même toile, gilet, veston et pantalon. La grande banalité du costume, qui mous vient, comme tout ce qui est laid, d’Angleterre.
Costumé, par la Belle Jardinière,
D’un complet comme on en rêve un au ciel,
Gentlemanisé, presque officiel,
Digne des croisées dont il était l’hôte,
Et narguant enfin l’hopital Broussais
D’un sourcil, ô vent ! que tu rebroussais,
Verlaine, vivant, entrait dans la Haute !
(Émile Bergerat)